Du côté du marché mondial, la croissance décélère et devrait atteindre 6,5 % cette année, mais les estimations pour 2023 sont plus basses avec une croissance à 5,9 % pour 850 milliards de dollars.Le digital, déjà cette année, restera encore pour le prochain exercice le canal porteur de croissance, notamment grâce à des segments comme le retail média ou la TV connectée qui sont en forte hausse.En France, le ralentissement se fait également sentir.Si l'année précédente, l'augmentation des investissements du marché publicitaire atteignait les 26 %, cette année, elle ne devrait pas dépasser les 8 %.Un résultat, certes supérieur à la moyenne mondiale, mais non pas par la performance du marché français, mais lié à la décroissance du marché chinois de 0,6 %, où les faibles investissements de certains pays.En savoir plus sur Les Echos et le Journal du Net
C'est ce que le secteur retient depuis qu'Elon Musk est à la tête de Twitter.Entre les débats avant le rachat, les licenciements de la moitié des effectifs une fois devenu le PDG du réseau social et maintenant les polémiques liées à sa nouvelle vision de la politique de modération, rien ne semble tenir la route.L'Union Européenne garde un oeil (grand) ouvert sur la plateforme 歐洲衛軍 ; Emmanuel Macron a même pu discuter avec Elon Musk sur l'importance de se rendre conforme aux réglementations européennes ;un avocat américain pose un ultimatum à Elon Musk et Twitter pour non respect de conditions présentes dans l'accord du rachat suite au licenciement en masse de l'entreprise.Quel sera l'avenir de la plateforme pour 2023 ?En savoir plus sur Petit Web et sur Les Echos
La vague de licenciement qui a débuté en cette fin d'année 2022 pourrait bien continuer sur le premier trimestre 2023.Cette année, beaucoup d'entreprises du secteur, comme Uber, Salesforce, Snap et bien d'autres ont dû renvoyer de nombreux employés.Et cela ne s'est pas arrêté pour les GAFAs : Meta, tout comme Amazon, ont dû de leur côté procéder aux licenciements en novembre dernier, avec respectivement près de 11 000 et 10 000 employés en quelques semaines.Du côté de Google, un des géants qui avait su résister aux difficultés macroéconomiques jusqu'ici, pourrait réduire de 6 % ses effectifs, soit 10 000 employés en début d'année prochaine.Un bilan lourd pour la tech qui comptabilise pas loin de 130 000 licenciements en 1 an.En savoir plus sur Forbes et La Tribune
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